Au début de l’année, je suis sûr que nous avons dû être un nombre incalculable à prendre des résolutions pour le Nouvel An afin de perdre du poids, de vivre plus sainement et d’adopter de meilleures habitudes alimentaires.

Que se passe-t-il alors ? Les horaires chargés, les vieilles habitudes qui prévalent et, d’une manière ou d’une autre, le désir fou que nous avions, s’amenuisent.

Gardez à l’esprit que ce n’est pas du jour au lendemain qu’il faut changer ses habitudes pour changer son corps. Et devinez quoi ? Cela ne se fait pas du jour au lendemain.

Les habitudes que nous avons acquises ne sont rien d’autre qu’une routine ou un comportement que nous répétons régulièrement, automatiquement et souvent, inconsciemment.

Développer une nouvelle habitude est un travail difficile, surtout si la nouvelle est en concurrence avec l’ancienne et, dans notre esprit, contredit les anciennes.

La plupart d’entre nous mesurent notre état de santé par le tour de taille ou par le poids de quelques kilos en moins sur la balance.

Ce ne sont là que quelques-uns des effets secondaires d’un mode de vie caractérisé par nos habitudes.

Ce dont nous ne nous rendons pas compte, c’est qu’il y a des habitudes que nous pouvons développer et auxquelles nous ne penserions pas en temps normal.

Quand avez-vous choisi pour la dernière fois de prendre l’escalier mécanique ?

Quand avez-vous choisi pour la dernière fois l’eau au lieu des boissons gazeuses diététiques, débilitantes pour la santé, qui font grossir, qui sont destructrices sur le plan neurologique et qui sont chargées d’aspartame ?

Quand avez-vous choisi pour la dernière fois une salade et utilisé du jus de citron ou de l’huile d’olive et du vinaigre balsamique comme sauce à salade au lieu d’un épais mélange de crème et de produits chimiques ?

Quand avez-vous renoncé pour la dernière fois au pain ou à tout ce qui avait un visage ou une mère, ou même au cycle menstruel de la poule ?

Tous ces éléments, aussi subtils soient-ils, contribuent à un mode de vie plus sain.

Nous regardons les publicités à la télévision et nous voyons des hommes et des femmes buffles avec des packs de 6 incroyables qui vendent des produits pour nous faire ressembler à eux.

Croyez-vous vraiment qu’ils sont comme ça parce qu’ils ont utilisé cet équipement trois fois par semaine pendant 20 minutes avec une garantie de remboursement complet ?

Mais non ! Cela leur a pris des années.

Alors, ne vous attendez pas, quand vous faites de l’exercice pendant une heure, à avoir le torse tonique.

Une chose que vous accomplirez cependant, c’est de donner à votre corps un nouveau signal – le signal que vous l’utilisez.

Si vous l’utilisez régulièrement, vous donnerez à votre corps suffisamment de signaux et si vous le faites sur une longue période, votre torse sera tonifié.

Le temps et la constance sont les clés.

Notre problème est que nous voulons des résultats instantanés et essayons de tout changer en même temps.

Au lieu de chercher ce changement immédiatement, donnez-vous du temps, que ce soit entre deux semaines et deux mois.

Votre corps doit s’adapter à son nouveau format ou à sa nouvelle habitude d’exercice régulier. Certains disent que vous devriez faire 10 000 pas par jour. Cela signifie que vous devrez acheter un podomètre et que vous serez obsédé par la satisfaction de vos besoins en matière de pas. La paranoïa se présente sous toutes ses formes.

Et il n’en va pas autrement des nouvelles habitudes alimentaires.

Nous savons que le sucre cause une myriade de problèmes, alors arrêtez les sodas, les biscuits, les gâteaux, les bonbons et autres.

Puisque le “régime” tout ce qui contient des édulcorants artificiels est un désastre, faites passer le message. Le problème, c’est qu’il n’est pratiquement jamais étiqueté.

Ainsi, vos sources cachées ou révélées d’aspartame, de Splenda, d’Amino Sweet et autres déchets sont : les sodas diététiques, les yaourts, les chewing-gums (sauf le Xylitol ou le Spry), les sauces de cuisson commerciales, les poudres à boire, l’eau aromatisée, les produits sans sucre, les céréales commerciales, les médicaments pour enfants et les édulcorants de table.

Ensuite, la graisse saturée, provenant de tout ce qui a un visage ou une mère, est bien connue pour ses capacités à boucher les artères, ce qui entraîne le cancer, les maladies cardiaques, l’arthrite, les troubles de l’érection, les accidents vasculaires cérébraux et à peu près toutes les maladies débilitantes connues.

Enfin, il faut se tenir complètement à l’écart des OGM. S’il ne s’agit pas de maïs, de soja ou de coton biologique, ne le touchez pas avec un bâton de 3 mètres. Mais que diable, si les OGM tuent les abeilles, à quel point cela peut-il être grave ?

Sonia Naturopathe Le 05 Novembre 2020